sábado, março 28, 2009
Enquête sur la mort de Tagme Na Waié: Trois officiers interpellés à Bissau
Origem do documento: www.africatime.com, 27 Mar 2009
(Le Soleil 27/03/2009)
Trois officiers supérieurs de l’armée bissau-guinéens ont été interpellés par des militaires pour être entendus dans le cadre de l’enquête sur l’attentat meurtrier contre le chef d’état-major des forces armées le général Batista Tagmé Na Waié le 1er mars, a-t-on appris hier de source militaire.
Les officiers ont été "interpellés en début de semaine par des militaires pour être entendus par la commission d’enquête concernant l’assassinat du chef d’état-major" a-t-on poursuivi de même source.
L’ancien porte-parole de l’état-major des forces armées, le colonel Arsène Baldé, a été arrêté, tout comme le colonel Abdoulaye Ba, membre de l’état-major.
Des militaires ont également interpellé l’ancien chef d’état-major de l’armée de l’air (2000-2004), le général de brigade Melcias Fernandes dit Manel Minas, artificier disposant de connaissances dans le maniement des explosifs.
Dans la nuit du 1er au 2 mars, le chef d’état-major général des forces armées, le général Batista Tagmé Na Waié, a été tué par l’explosion d’une bombe à l’état-major. Quelques heures plus tard, le président Joao Bernardo Vieira avait été sauvagement battu et tué par des militaires.
Pendant la guerre civile de 1998-99, les colonels Baldé et Ba faisaient partie des officiers restés fidèles au président Joao Bernardo Vieira.
En revanche, le général de brigade Minas était alors membre de la junte militaire qui avait chassé du pouvoir le président Vieira en 1999.
AFP
© Copyright Le Soleil
(Le Soleil 27/03/2009)
Trois officiers supérieurs de l’armée bissau-guinéens ont été interpellés par des militaires pour être entendus dans le cadre de l’enquête sur l’attentat meurtrier contre le chef d’état-major des forces armées le général Batista Tagmé Na Waié le 1er mars, a-t-on appris hier de source militaire.
Les officiers ont été "interpellés en début de semaine par des militaires pour être entendus par la commission d’enquête concernant l’assassinat du chef d’état-major" a-t-on poursuivi de même source.
L’ancien porte-parole de l’état-major des forces armées, le colonel Arsène Baldé, a été arrêté, tout comme le colonel Abdoulaye Ba, membre de l’état-major.
Des militaires ont également interpellé l’ancien chef d’état-major de l’armée de l’air (2000-2004), le général de brigade Melcias Fernandes dit Manel Minas, artificier disposant de connaissances dans le maniement des explosifs.
Dans la nuit du 1er au 2 mars, le chef d’état-major général des forces armées, le général Batista Tagmé Na Waié, a été tué par l’explosion d’une bombe à l’état-major. Quelques heures plus tard, le président Joao Bernardo Vieira avait été sauvagement battu et tué par des militaires.
Pendant la guerre civile de 1998-99, les colonels Baldé et Ba faisaient partie des officiers restés fidèles au président Joao Bernardo Vieira.
En revanche, le général de brigade Minas était alors membre de la junte militaire qui avait chassé du pouvoir le président Vieira en 1999.
AFP
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