quarta-feira, janeiro 17, 2007
Le Procureur de Bissau enquête dans les rangs du Paigc, pour le meurtre de Sanha
Origem do documento: www.africatime.com, 17 Jan 2007
(APA 17/01/2007)
APA-Bissau (Guinée-Bissau) Le procureur de la république du tribunal régional de Bissau a convoqué près de 400 membres du Parti Africain de l’Indépendance de la Guinée et du Cap vert (PAIGC, principal parti d’opposition parlmentaire ) pour les entendre, dans le cadre de l’enquête sur l’assassinat de l’ex-chef d’état-major de la marine, Muhamadu Lamine Sanha, mort le 6 janvier dernier, des suites de l’attentat qui l’avait visé deux jours plus tôt, dans la nuit du 4 au 5 janvier.
Dans un communiqué rendu public mardi à Bissau, le Bureau politique du PAIGC "dénonce cette décision de la justice", estimant que cell-ci "cherche à entendre les responsables et suppléants" de leur formation "dans une affaire qui ne (les) concerne pas".
Près de 400 membres du Bureau politique et du Secrétariat du PAIGC ont été convoqués par le juge, selon le communiqué de presse de l’instance dirigeante du parti, réuni le même jour, "pour étudier la situation".
Le PAIGC voit dans cette convocation collective de ses dirigeants, "une volonté manifeste du pouvoir de museler l’opposition".
La Direction du parti rend le gouvernement du premier ministre Aristides Gomes "responsable de la tension politique" qui prévaut en ce moment en Guinée-Bissau et des manifestations violentes qui ont suivi l’annonce de la mort du Commandant Sanha.
« Nous lançons un appel à la communauté internationale et aux organisations sous-régionales comme la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) à intervenir pour désamorcer la tension politique née de la tentative avortée du pouvoir d’arrêter le président du PAIGC », ajoute le communiqué.
(APA 17/01/2007)
APA-Bissau (Guinée-Bissau) Le procureur de la république du tribunal régional de Bissau a convoqué près de 400 membres du Parti Africain de l’Indépendance de la Guinée et du Cap vert (PAIGC, principal parti d’opposition parlmentaire ) pour les entendre, dans le cadre de l’enquête sur l’assassinat de l’ex-chef d’état-major de la marine, Muhamadu Lamine Sanha, mort le 6 janvier dernier, des suites de l’attentat qui l’avait visé deux jours plus tôt, dans la nuit du 4 au 5 janvier.
Dans un communiqué rendu public mardi à Bissau, le Bureau politique du PAIGC "dénonce cette décision de la justice", estimant que cell-ci "cherche à entendre les responsables et suppléants" de leur formation "dans une affaire qui ne (les) concerne pas".
Près de 400 membres du Bureau politique et du Secrétariat du PAIGC ont été convoqués par le juge, selon le communiqué de presse de l’instance dirigeante du parti, réuni le même jour, "pour étudier la situation".
Le PAIGC voit dans cette convocation collective de ses dirigeants, "une volonté manifeste du pouvoir de museler l’opposition".
La Direction du parti rend le gouvernement du premier ministre Aristides Gomes "responsable de la tension politique" qui prévaut en ce moment en Guinée-Bissau et des manifestations violentes qui ont suivi l’annonce de la mort du Commandant Sanha.
« Nous lançons un appel à la communauté internationale et aux organisations sous-régionales comme la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) à intervenir pour désamorcer la tension politique née de la tentative avortée du pouvoir d’arrêter le président du PAIGC », ajoute le communiqué.
