terça-feira, dezembro 26, 2006
101 villages sénégalais et bissau-guinéens abandonnent la pratique de l'excision
Origem do documento: www.africatime.com, 26 Dez 2006
(Xinhuanet 26/12/2006)
Quelque 101 villages du Sénégal et de la Guinée Bissau se sont engagés, dimanche à Médina Poussang ( département de Vélingara, sud) à abandonner la pratique de l'excision, sous l'impulsion de l'ONG Tostan, rapporte l'Agence de presse sénégalaise.
Les villages concernés, dont 13 sont venus de la Guinée Bissau, se sont regroupés dans cette localité située à la frontière entre les deux pays, pour dire "non à la pratique de l'excision", à travers une déclaration rendue publique en présence des autorités administratives du département de Vélingara et des responsables de l'ONG Tostan, indique-t-on de même source.
Des prestations de troupes culturelles traditionnelles et théâtrales ont été au menu de cette manifestation au cours de laquelle des messages relatifs aux risques et méfaits de l'excision ont été délivrés aux populations, précise-t-on.
A Kolda, la pratique de l'excision demeure une réalité encore vivante dans plusieurs communautés culturelles de la région, mais la sensibilisation reste prioritaire sur la répression pour venir à bout de cette pratique, a-t-on indiqué au bureau régional de Tostan.
A travers des actions de proximité, l'ONG met également l'accent sur l'éducation non formelle à travers l'ouverture de classes d'alphabétisation dans toute sa zone d'intervention, pour éradiquer cette pratique.
(Xinhuanet 26/12/2006)
Quelque 101 villages du Sénégal et de la Guinée Bissau se sont engagés, dimanche à Médina Poussang ( département de Vélingara, sud) à abandonner la pratique de l'excision, sous l'impulsion de l'ONG Tostan, rapporte l'Agence de presse sénégalaise.
Les villages concernés, dont 13 sont venus de la Guinée Bissau, se sont regroupés dans cette localité située à la frontière entre les deux pays, pour dire "non à la pratique de l'excision", à travers une déclaration rendue publique en présence des autorités administratives du département de Vélingara et des responsables de l'ONG Tostan, indique-t-on de même source.
Des prestations de troupes culturelles traditionnelles et théâtrales ont été au menu de cette manifestation au cours de laquelle des messages relatifs aux risques et méfaits de l'excision ont été délivrés aux populations, précise-t-on.
A Kolda, la pratique de l'excision demeure une réalité encore vivante dans plusieurs communautés culturelles de la région, mais la sensibilisation reste prioritaire sur la répression pour venir à bout de cette pratique, a-t-on indiqué au bureau régional de Tostan.
A travers des actions de proximité, l'ONG met également l'accent sur l'éducation non formelle à travers l'ouverture de classes d'alphabétisation dans toute sa zone d'intervention, pour éradiquer cette pratique.
